Tout s'arrange, même mal (dessins d'humour) 1997.
Le grand tourbillon de la vie (dessins d'humour), 1998 / le cherche midi.
Le pire n'est même pas certain (dessins d'humour), 1999 / le cherche midi.
L'amour triomphe toujours (dessins d'humour), 2000 / le cherche midi.
Personne n'est tout blanc (dessins d'humour), 2002 / le cherche midi.
Chaque jour est une fête (dessins d'humour), 2004 / le cherche midi.
Le futur ne recule jamais (dessins d'humour), 2006 / le cherche midi.
Le doute est partout (dessins d'humour), 2007 / le cherche midi.
Tout se mérite (dessins d'humour), 2013 / le cherche midi.
De surprise en surprise (dessins d'humour), 2020 / le cherche midi.
Compilations thématiques :
Le monde merveilleux de l'entreprise, 2009 / le cherche midi.
Les mystérieuses alchimies de l'amour, 2010 / le cherche midi.
Les joies du monde moderne, 2011 / le cherche midi.
Ouragan sur le couple, 2012 / le cherche midi.
Bandes dessinées :
T'es sûr qu'on est mardi ? (vol. 1), 2017 / le cherche midi.
T'es sûr qu'on est mardi ? (vol. 2), 2018 / le cherche midi.
Hors collection :
Petit traité de Voutchologie fondamentale, 2015 / le cherche midi.
Quelques fables assez fabuleuses, 2019 / le cherche midi.
Arrière-cuisine, 2020 / Alain Beaulet éditions / Oblique.
Pour les enfants :
La planète bizarre, 1999 / éditions Thierry Magnier.
Pourquôôââ, 2000 / éditions Thierry Magnier.
La petite grenouille qui avait mal aux oreilles, 2006 / Circonflexe.
Le roi de la grande savane, 2006 / Circonflexe.
Bientôt l'hiver, 2016 / Le Genévier.
Le plus grande course du monde, 2017 / Le Genévrier.
Zut !, 2018 / Le Genévrier.
Voutch brosse ici le portrait ironique d'une société moderne confrontée chaque jour à des problèmes de plus en plus complexes. Des médecins cyniques, des couples un peu désorientés, des hommes d'affaires goguenards, des petits vieux attendrissants peuplent l'univers des dessins de Voutch. Ces personnages déboussolés dans un monde qui les dépasse, tentent malgré tout d'affronter leur époque et ses mutations : les médias, la génétique, les nouvelles technologies, l'overdose de communication... des thèmes plus que jamais d'actualité qui assurent la pérennité globale de cet album.
Vingt-trois ans après la première édition, Voutch a pris le temps de redessiner chaque image, d'en restaurer les couleurs et de supprimer certains dessins pour les remplacer par d'autres, jusque-là jamais publiés en livre. Un album 100 % rénové !
L'univers de l'entreprise dessiné par Voutch est peuplé de patrons tyranniques, d'employés résignés, d'assistantes goguenardes, de stagiaires désabusés et de petits chefs survoltés.
Un monde implacable où le rapport de force est la règle et que Voutch observe avec son indulgence habituelle (c'est-à-dire très faible) et son goût (très prononcé, en revanche) pour les répliques idiotes et les situations totalement absurdes.
Avec Le futur ne recule jamais, Voutch persiste et signe son sixième album au cherche midi.
Avec ce nouveau titre, Voutch persiste et signe son septième album au cherche midi.
Une nouvelle plongée dans l'humour Voutch.
Inimitable.
1/3 cynisme, 1/3 tendresse, 1/3 cruauté.
Chaque jour est une fête est le cinquième album de Voutch publié au cherche midi.
La vie à deux, la famille, le boulot, les amis, (et même les voisins!), tout se mérite et on n'a rien sans rien.
Et comme on n'attrape pas les mouches avec du vinaigre, à nous donc les petits arrangements, les douloureuses négociations, les renoncements, les concessions et les marchandages sans fin.
Le bonheur a un prix. C'est navrant mais c'est comme ça.
Et comme c'est navrant, Voutch, en bon humoriste, s'en amuse beaucoup.
Allons bon ! Me voilà illustrateur ! Mais illustrateur de La Fontaine, c'est ça, le détail qui change tout. La Fontaine, c'est vraiment fabuleux. J'ai découvert ses fables à l'école et je me demande si je ne les aime pas encore d'avantage aujourd'hui. Et comme j'avais cette liberté, j'ai choisi celles qui me plaisaient le plus, pas forcément les plus connues, dans l'imposante production (deux cent quarante fables, tout de même !) de ce grand monsieur de la littérature française.
Je suis loin d'être le premier à illustrer La Fontaine : Grandville, Gustave Doré, Benjamin Rabier, Samivel, (et beaucoup d'autres, moins connus...) s'y sont essayés bien avant moi. Mais, dès le départ, j'ai compris qu'il y avait une erreur à éviter absolument : ajouter de l'humour à l'humour. Car l'auteur, le grand patron, l'humoriste en chef, c'est lui. Et certainement pas moi, pour une fois. Et puis quand on est l'illustrateur d'un illustre, on se met à son service sans barguigner. C'est comme ça que je vois les choses. J'ai donc essayé de respecter les indications données par ses textes et si je me suis autorisé quelques fantaisies, c'est qu'elles me semblaient compatibles avec l'esprit général de la fable. J'ajoute que mettre en scène ces petites histoires très drôles a été un véritable plaisir.
La postérité est souvent discutable, mais pas quand elle fait de La Fontaine le n° 1 de la poésie française : songez que la plus récente de ces fables a été écrite il y a plus de trois cents ans et que presque toutes ses morales sont devenues entre-temps des expressions de notre langage courant. Et cela aussi, c'est assez fabuleux. Chapeau bas, M. La Fontaine !
Fin observateur du quotidien et des relations humaines, Voutch est connu pour ses dessins d'humour délicieusement décalés (8 albums publiés au cherche midi). Avec T'es sûr qu'on est mardi ?, Voutch change de genre : ses strips donnent la parole à ceux et celles qu'on entend trop peu - voire même pas du tout - dans les médias. Qu'on soit une carotte ou un caillou, un moustique ou un pot de fleur, ce n'est pas parce qu'on est tout petit (par exemple) et qu'on n'a pas de bouche (par exemple), qu'on n'a pas de problèmes dans la vie.
Objets inanimés avez-vous une âme ? La suite...
Le bonheur de rire vu par Wolinski, c'est l'élégance frondeuse d'une femme, la réponse désemparée d'un homme, la truculence d'un dialogue, la peinture à grands traits de notre époque où se succèdent des situations de tous les jours, banales et drôles, et la critique amusée du monde politique et de ses retombées.
Puisés dans la collection personnelle de la succession Wolinski, ces dessins, réunis pour la première fois dans un livre, reflètent cinquante ans de production graphique pour la presse, le spectacle, la littérature et la tendresse amicale. On y retrouve un large panorama des thèmes de prédilection de l'artiste, tous animés d'un sens aigu de l'humour au service d'une liberté revendiquée et assumée.
On s'aime, on vit ensemble, on fait des enfants, on s'embarque pour un long voyage sur une mer que l'on croyait calme. Puis un jour, le vent se lève et la tempête emporte tout, les habitudes, les évidences, les certitudes, et même l'amour.
Par bonheur, il nous reste les dessins de Voutch célèbre couplologue, également spécialiste de la gouache et de l'humour conjugal, pour sourire de nos petits malheurs.
Nouvelles technologies, nouveaux comportements, l'évolution de l'espèce humaine suit son cours. Être geek, bobo, écolo, branchouille, robo, hyper, telle est aujourd'hui la question.
Le dessinateur Voutch, expert international, spécialisé en observation appliquée, analyse depuis quelques années ces diverses tendances et s'en amuse.
Sourions, l'humour c'est hype !
Libre, indépendante, impertinente, audacieuse, avec une dose d'insolence ou d'irrespect fl agrant, Fabuleuse est une femme d'aujourd'hui absolument et irrésistiblement provocante.
Elle traverse avec autant de candeur que de désinvolture tous les territoires de la vie quotidienne : travail, amour, amitié, société de consommation, écologie, mode, et même savoir-vivre. Politiquement incorrecte, on l'adore autant qu'on la déteste, parce qu'on connaît tous une Fabuleuse, quand on ne l'est pas soi-même...
Fabuleuse est née dans les pages de Madame Figaro Pocket. Une partie de ces dessins en est issue, accompagnée de nombreux inédits.
J'adore les chats. J'ai beaucoup de points communs avec eux : ils sont beaux, intelligents et racés... comme moi. Paresseux, ils passent plus de la moitié de leur temps à dormir. Moi aussi. Langoureux, ils raffolent de papouilles, surtout sur le ventre. Ils ont huit seins, j'en ai moins, mais je ronronne autant qu'eux quand ma maîtresse me les caresse tendrement.
Et puis, surtout, ils sont foncièrement anarchistes : alors qu'il existe des chiens policiers, jamais aucun chat au monde n'accepterait d'exercer ce foutu métier. Moi non plus. Vive les chats !
PIEM est un des grands dessinateurs d'humour dont le trait d'une redoutable efficacité a croqué sans limitation la comédie humaine autant que notre société.
Parmi ses dizaines de milliers de dessins les plus représentatifs de son esprit face « à la bêtise et à l'injustice », il en a choisi près de deux cents qui n'épargnent, entre autres, ni les malades ni les médecins, ni les gendarmes ni les voleurs, ni les politiciens ni les électeurs, ni les sportifs ni les supporters.
En prime, PIEM raconte au journaliste Arnaud Roy sa carrière de dessinateur engagé et répond à une interview post mortem. À l'aube de ses 94 ans, l'ancien pilier du « Petit Rapporteur », l'émission culte de Jacques Martin, n'a rien perdu de son impertinence et de sa verve.
Pour chaque dessin, Cabu faisait son marché sur l'inépuisable planète des cons. Politiciens, militaires, religieux de toutes confessions, affairistes, etc. : personne n'échappait à son attention. Bien des cons attendaient avec impatience d'être distingués par Cabu. Simplement parce qu'une caricature de lui, c'était la garantie d'une postérité !
L'importe de l'oeuvre graphique de Cabu s'impose à tous.
Elle grandira encore avec le temps et en fera le chroniqueur capital et ricaneur de notre époque.
Après le Jeu des 7 Familles corses, Delambre s'amuse des dérives du nationalisme insulaire ou de celles de l'État « colonial ».
Ses petits mickeys, encagoulés 24 heures sur 24, pourraient être basques, bretons ou irlandais. Ils commentent, non sans un certain bon sens et une décapante mauvaise foi, l'actualité insulaire, nationale et internationale.
Sympathiques quand ils préservent « l'île de Beauté » du béton ou se jouent des idées reçues venues du continent, ils deviennent franchement allumés quand ils jouent aux kamikazes en pratiquant les « arts plastic ».
Un livre explosif, couleur « nuit bleue », plein d'ombre et de lumière, et d'éclats de rire.
Alors, mon minet ? chat mord ? après barberousse, faizant, siné et geluck, pour ne citer qu'eux, fidèle castor a le culot de se faire aussi les griffes sur les chats.
Ce n'est pas le flatter dans le sens du poil que de prétendre qu'il s'en tire plutôt mieux que bien. il renouvelle même le genre en opposant à ses raminagrobis et autres mistigri ces généralement inoffensifs vertébrés inférieurs que sont les petits poissons. qui deviennent parfois grands si dieu et les prédateurs leur prêtent vie. le chat de fidèle castor, lui, ne se paye pas de mots (la plupart des dessins sont muets comme des carpes).
Il s'ingénie à capturer de mille façons cocasses ses frères aquatiques. pas forcément pour les avaler tout crus. c'est drôle, c'est poétique, c'est souvent d'une absurde loufoquerie. on pense à chaval.
"BOSC avait un radar pour détecter le ridicule, le salaud, le bidon, le mensonger, l'enflé, le con. Il fut le premier humoriste vraiment moderne, nous montrant le chemin avec ses petites histoires implacables. Les vrais humoristes ont toujours les mêmes cibles : les flics, les militaires, les brutes, les religieux, les riches, les puissants, les bourreaux." C'est ainsi que WOLINSKI parle avec une affectueuse admiration du grand dessinateur que fut BOSC. Il était né en 1942 à Nîmes et se donna la mort en 1973 à Antibes où il vivait. Il collabora à de nombreux magazines français et étrangers et demeure aujourd'hui l'un des maîtres incontestés du dessin d'humour.
Les univers dessinés de jean gourmelin sont faits de pierre et de légèreté.
Pierre originelle d'où naissent parfois ses personnages et légèreté des mondes fantastiques où ils évoluent. des hommes et des femmes toujours en équilibre dans des espaces où le cours du temps est suspendu. leur fragilité apparente ressemble étonnamment à la nôtre. les dessins de jean gourmelin ont été exposés dans de nombreuses galeries d'art, publiés dans plusieurs albums, ainsi que dans des revues et des magazines : bizarre, planète, plexus, hara-kiri mensuel, france soir, pilote, elle, le monde, le monde diplomatique, le figaro et le point.