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Les trois mousquetaires
Alexandre Dumas, Grégoire Bouillier
- Oskar
- Les Classiques Illustres
- 18 Septembre 2008
- 9782350003290
« Un pour tous, et tous pour un! » Voilà la fière devise des trois mousquetaires, Athos, Portos et Aramis, ainsi que de leur nouvel ami d'Artagnan. Laissez-les vous entraîner dans leurs aventures, dans un monde où complots, embuscades et combats d'épée sont monnaie courante.
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Homme dur et sans pitié, le solide Kernok est un pirate qui ne transige pas avec les égarements de ses hommes. Capitaine de L'Épervier, il parcourt les mers à la recherche de trésors, n'hésitant pas à massacrer les occupants - fussent-ils inoffensifs - des vaisseaux adverses. C'est à terre cependant, celle de sa Bretagne natale, qu'il mourra, de la plus étrange façon.
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Jacquou, enfant, est très tôt confronté à la brutalité et l'arrogance des propriétaires terriens de la Restauration, qui, forts d'une noblesse parfois acquise de façon douteuse, exploitent sans pitié leurs paysans. Son père meurt au bagne, condamné pour avoir tué, en légitime défense, le régisseur du Comte de Nansac. Sa mère, folle de chagrin, meurt à son tour. Alors, le petit " croquant " refuse de courber la tête. Seul face à la toute-puissance de Nansac, mais déterminé, il fait front et crie vengeance. A la tête d'un groupe de paysans, Jacquou réalisera l'impensable : abattre le symbole de l'injustice. Un beau roman qui raconte la vie d'un petit paysan prêt à tout pour conquérir sa dignité d'homme libre.
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Pendant cinquante ans, Gilbert a gardé le silence. Il n'a jamais osé dire à ses proches qu'il avait servi dans l'armée française pendant la guerre d'Algérie. Mais un jour son petit-fils Éric trouve un paquet contenant un pistolet, de vieilles cartes postales d'Algérie, et une photo jaunie : dessus, un jeune soldat, armé d'une mitraillette, garde une femme attachée au soleil. Le soldat a les traits d'Éric... et ceux de son grand-père. Alors, petit à petit, Gilbert va être amené à raconter sa guerre. Et il finira par dévoiler le secret de la prisonnière de la photo.
Roman sur le silence et la mémoire de la guerre, La Prisonnière du djebel rend hommage à ceux qui ont choisi de désobéir à leurs chefs pour obéir à leur conscience. « Le mot le plus souvent prononcé, c'était torture, et une phrase revenait en boucle :
«On ne pouvait pas faire autrement, c'était les ordres.» C'était la première fois qu'ils se confiaient, et plusieurs se demandaient ce que leurs enfants, leurs petits-enfants allaient penser d'eux... Ils avaient peur de passer pour des monstres. »
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Petit recueil de pensées d'auteurs, croustillantes, profondes ou légères qui vous suivra partout ! - - Citations faciles à retenir et à partager par sms !
Sexe-citations : coquines et osées pour rougir cet été !
Amusez-vous à lire chacune des citations et organisez des quiz entre amis pour découvrir " qui a dit ? ... " Extraits :
Je tromperais bien l'ennui avec sa femme...
Élie Semoun On trompe toujours sa maîtresse avec sa femme.
Louis Teissier du Cros Cocu pour cocu, autant être marié.
Marcel Achard L'éternuement, c'est l'orgasme du pauvre.
Francis Blanche Le ciel et le cul, les deux grands leviers.
Émile Zola Vice : plaisir que l'on n'a pas goûté.
Louis Aragon
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Robin Hood, archer très habile, est proscrit après de sombres manoeuvres du shérif de Nottingham et de ses puissants alliés. Robin et ses joyeux compagnons décident alors de continuer à dépouiller les riches Normands et le clergé de leurs richesses afin de soulager la misère des pauvres. Il est remis en possession de ses titres et droits par le roi Richard Coeur de Lion qui, hélas, part en croisade. La régence du prince Jean et l'intensification des prouesses du « hors la loi » porte le mécontentement des Normands à son paroxysme, suscitant par là de nombreuses attaques dont l'une causera la mort de Marianne, bien aimée de Robin. Longtemps inconsolable, il laissera sa bande se disperser avant de mourir à l'âge de 55 ans, suite à une trahison.
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Qui est cet étrange Adolf ? Est-ce un revenant surgit des ténèbres les plus sombres du XXe siècle ? Est-ce une histoire de fantômes ? Peut-être.
Sauf que le décor n'est pas l'habituel château médiéval ni le traditionnel manoir. Non, ici le cadre est celui d'un lycée d'aujourd'hui dirigé par une octogénaire moustachue, Madame Maréchal. Son établissement est bouleversé par l'arrivée d'un nouvel élève, le tout aussi moustachu Adolf. Celui-ci se révèle rapidement envahissant et totalement ingérable car mégalomane, tyrannique, raciste et cruel. Grâce à ses fabuleux talents d'orateur et de manipulateur, il entraîne dans sa folie toute une clique de personnages aussi grotesques que diaboliques : Albert, Joseph, Hermann, Heinrich, Rudolph, Martin, Klaus, Bénito, et aussi la blonde Eva. Des personnages historiques et dangereusement hystériques.
Ce livre peut se lire de deux manières : soit comme un simple roman, plein de psychologie et d'humour, soit comme une parodie historique dans laquelle le lecteur pourra rechercher les correspondances entre la fiction et la réalité.